dimanche 7 septembre 2014

10 raisons pour lesquelles Têtes Raides est le meilleur groupe du monde.

- Parce que c'est un groupe qui s'est toujours renouvelé musicalement. Chaque album a une couleur musicale différente. "Not dead but bien raide" (premier album - 1989) sonne plutôt punk, "Les oiseaux" (1992) est plus chanson française, "Qu'est-ce qu'on se fait chier" (2003) se démarque par son côté très bordélique (enfin je veux dire encore plus que les autres), "Fragile"  (2005) sonne plus rock limite expérimentale (presque punk parfois), etc... Enfin bon, mettre des étiquettes aux albums de Têtes Raides c'est un peu con comme idée. Déjà que bon, mettre des étiquettes tout c'est pas malin malin.

- Parce que Christian Olivier (l'auteur/chanteur/accordéoniste/co-compositeur et un peu guitariste) a quand même ce qu'on peut appeler une putain de présence. Bin ouai, écoute moi cette voix si prenante, en concert, regarde moi ces gestes aussi incroyables, même ces oreilles décollées il s'en sert super bien avec les jeux de lumière. Nan mais sans déconner, ce mec est génial. Et encore je ne parle pas des autres membres qui en impose aussi sur scène, comme Iso, le saxophoniste absent de la dernière tournée.

- Parce que c'est un groupe engagé, que ce soit dans les paroles où dans les actes avec à partir de 2002 le lancement de "Avis de KO social" au lendemain du score important du FN. Les thèmes de société les plus abordés par le groupe sont l'immigration(comme dans ce duo avec Noir Désir), la discrimination (et le rejet en général), la pauvreté et la religion (que Têtes Raides rejettent, notamment dans cette chanson). Têtes Raides est aussi marqué par un certain anarchisme tout en incitant à aller voter pour éviter d'être gouverner par des cons encore plus cons que les cons. Exemple avec cet extrait de la chanson "Patalo" :
" Alors votez pour nos partis et sans surprise
Vous y trouverez que du blanc-bec et du pognon
J'y ai laissé mon pantalon et ma chemise
Tout ce qu'on vous d'mande c'est d'nous envoyer vos dons "
Donc en gros, politiquement, c'est à gauche sans soutenir de parti.

- Parce que les textes sont absolument magnifiques et sûrement les mieux écrits dans le rock français à l'heure actuelle. Parler de la misère, des injustices, etc... N'importe qui peut le faire, même Damien Saez, c'est pour dire ! Mais Têtes Raides font tout ça sans tombé dans le misérabilisme et toujours avec un peu d'humour créer par le décalage des images façonnées par les métaphores de Christian Olivier ("Quant à la Terre Promise, c'est le gâteau sur la cerise") ou tout simplement par la sincérité des parolesn et le bordel ambiant dans certains de leurs morceaux (comme dans "qu'est-ce qu'on se fait chier" par exemple !).

-Parce que ça te fais découvrir la poésie d'une manière 300 fois plus agréable que le système scolaire. Effectivement ils ont aussi l'habitude de mettre des poèmes en musique comme avec ce texte de Robert Desnos. En fait sans eux, je n'aurais sans doute jamais commencer à lire du Prevert, du Desnos, etc...
A noter qu'ils ont fait un spectacle complet sur la poésie appelé "Corps de Mots" duquel est tiré l'album du même nom. Personnellement c'est pas celui que je préfère mais quand même certains valent le détour comme cette version de "On ne quitte pas son ami" (ouai, c'est encore du Desnos)

- Parce qu'un concert des Têtes Raides c'est forcément bien. Et au niveau des spectacles aussi ils savent se renouveler que ce soit entre chaque tournées où avec les différentes création comme le spectacle génial donné aux Bouffes du Nord en 2001. Têtes Raides utilise à merveille les jeux de lumières, comme dans la tournée actuelle ("Les terriens") où sont projetés des films durant certaines chansons.

- Parce qu'ils font pleins de trucs, par exemple avec le collectif d'art visuel "Les Chats Pelés" qui réalise toutes les pochettes d'albums de Têtes Raides et certains des clips. Et puis parfois, ils font presque du théâtre aussi. Ce sont des choses qui arrivent et c'est plutôt bien (cf : Têtes Raides aux Bouffes du Nord)

- Parce qu'ils ont des classiques incroyables comme L'iditenté (duo avec Noir Désir dont j'ai parlé plus haut), Gino (Histoire surréaliste sur un vendeur d'oiseaux), Ginette (poème tout aussi surréaliste à l'ambiance très prenante, surtout en concert).

- Parce que ça fait 1984 que ça dure, et que leurs chansons n'ont pas vieillies. Et puis c'est pas un de ces groupes bloqués dans leur époque pas foutus d'évoluer un peu.

- Parce que le dernier album est vraiment super. Il s'appel "Les Terriens" et voilà quelques extraits dans la très bonne émission de live "Acoustic" consacrée aux Têtes Raides.

Arthur Carnivore

mardi 29 juillet 2014

Pas de doute : Les humains se mordent.

Aujourd'hui nous allons parler d'un phénomène très incroyable : .
C'est donc pour cause que nous descendions les escaliers avec nos jambes (celles de sous le bassins (bonjour) et).
"Puis plus aucun bruit" se demanda le charpentier du haut de son objet en hauteur (tout du moins par rapport au niveau de la mer). Alors dans un courage retentissant elle prit ta main et se décida à te dire bonjour malgré l'eau marinée d'huile qui coulait le long de ses seins vertigineux. Tient. Plus d’espagnol... plus que des espèces en voie d'extincteur.
L'incendie se faisait alors frigorifiant. à tel point qu'a Ce moment précis, les japonais n'avait plus le courage de dépasser la valeur qu'ils avaient sur le marché de l'homme.
"Deux pommes ou 3 ou ta mère ou la vie" dit-il d'une voix vulgaire et rauque de la main droite du bras gauche. car il en possédait 2. Tout comme ces testicules après son opération. Mais le trafic d'organe n'était pas encore aussi tortueux qu'aujourd'hui. pouf. Soudain. Ah bah non en fait.

jeudi 17 juillet 2014

Reportage de concert (on est en France bordel) : Sugar and Tiger au bistrot de la Cité (Rennes) 16/07/2014

Je suis donc allé voir Sugar and Tiger au Bistrot de la Cité le 16 juillet 2014. Bon ça, normalement, tu l'avais compris dans le titre. Déjà je peux te dire que c'était très bien. Mais maintenant, je vais commencer à raconter comment s'est passée la soirée, comme dans les autres blog, car j'aime me noyer dans la masse internetale (ce mot n’existe pas, je viens juste de l'inventer).

        Je suis donc arrivé vers 20h au Bistrot de la Cité (heure initiale prévue pour le début du concert) rejoignant mon grand et barbu ami Vladosh (qui s'appelle en réalité Steven, mais ça, on s'en fout un peu dans le cadre de ce live report reportage de concert) qui m'attendait dehors sans fumer. Car il ne fume pas.
Le temps de se dire bonjour nous entrons dans le bar pour constater que la scène est très petite pour un groupe contenant 5 musiciens et que l'homme qui se tient devant nous est en fait celui que je considère comme l'homme le plus extrapadant de la Terre : Didier Wampas. Je tiens à te rassurer, je n'ai pas vraiment fait de classement des gens les plus extrapadants de la Terre.
Alors au début de le voir en vrai si près ça fait un peu bizarre mais on s'y habitue assez vite en fait. Il faut dire que ça a beau être l'inventeur du rock'n'roll (pour nous les enfants 1 ) Il apparaît toujours comme quelqu'un d'accessible et de simple.
Ensuite est donc arrivé le Général  Perfecto (qui s'appelle en fait Clément mais ça aussi on s'en secoue les tartines).
        Le concert commençait alors, une bière à la main et volume des guitares à fond. Didier Wampas (alias Tiger) saute et fait des chœurs, Sugar chante de sa voix calme, Arnold gratte torse nu dès la première chanson, Diego bat et Jean-Mi assure aussi à la basse (ce qui est moins une découverte !) malgré le volume pas très fort de son instrument imposé par Didier (quel tyran. Bon en fait, il ne l'a pas vraiment imposé sérieusement, c'était du second degré, tu vois ?). Le groupe ne se prend pas au sérieux, et ça fait du bien, j'irais même jusqu'à dire que c'est cool. Didier, en sueur, enlève lui aussi son T-Shirt assez vite. Le public est assez mou mais plutôt réceptif. Bienvenue à Rennes.
Le temps d'une chanson, le bassiste des Bikinis Machine remplae Jean-Mi Lejoux pour "Ouh ouh" issu de l'album "Comme dans un garage", collaboration entre Didier Wampas et les Bikini Machine.
Les chansons de Sugar and Tiger marchent donc, comme prévu, très bien en concert, ça envoie du pâté, les chansons sont courtes, rapides, efficaces. Tout l'album y passe (ce qui est logique pour un album d'à peine 30 minutes contenant 11 chansons) et 3 chansons des Wampas sont jouées : Rimini, Manu Chao et Jalabert, pas prévue à l'origine qui vaut à Didier de dire à son fils : "tu sais jouer Jalabert ? C'est la même chose que Manu Chao". Tout ce que j'aime dans les Wampas quoi, 4 accords, de la sueur et des cris !
Ils reprennent aussi "Je pense à toi"  d'Amadou et Mariam en version punk, à peu près comme sur le 2nd CD de "Never Trust A Live", le deuxième album live des Wampas. Mon chère ami Vladosh a l'honneur quelques secondes d'être "l'amour", "la bien aimée" à laquelle Didier pense si fortement. Encore un très grand moment de défouloir pour le punk ouvrier qui saute et parcourt le bar en long, en large, en travers (de cheval), en fond, en comble et le reste aussi.
        Une fois le concert finis, tout le monde état content. C'est dire à quel point c'était bien.
Maintenant je peux écouter l'album "Télévisage" en boucle et arborée fièrement sur mon cuir percé les pin's "Sugar and Tiger". Et ça aussi c'est cool. Je tiens à préciser que je les ai achetés et non volés. Nan mais parce qu'on pourrait croire
Donc si vous aussi vous aimez ce qui est cool, allez les voir en concert, le niveau de Youpi est incroyablement élevé, et e niveau de tuerie du concert a atteint au moins 68 sur l'échelle de Francis Heaulme. Enfin, dans le bon sens du therme. Pas dans le sens "Tous par terre ceci est un hold-up" ou "Oups le coup est parti tout seul". Dis-Donc.


PS : Merci à Florence Vicha (alias Sugar) qui a offert à Vladosh un exemplaire du CD normalement offert aux journalistes. C'est très cool ça aussi.


1 Si tu n'as aucune culture Wampassienne tu n'as pas dû comprendre cette référence. Du coup, écoute ça et tu comprendra.

Arthur Carnivore

lundi 14 juillet 2014

J'emmerde le punk épisode 2 : 1977 : des punks, une reine, des scandales et ta sœur (le prend pas trop mal quand même).

En 1977 il ne s'est rien passé d'après la frise historique du conservatoire de musique que tu fréquente peut-être, contrairement à moi. Parce qu'en 1977 est né le pire (et donc le meilleur) genre musical du monde. Prenez des jeunes fils d'ouvriers qui en ont un peu ras le bol des hippies, tous récupérés par les gros producteurs fumeurs de cigares, et des solos aussi longs et chiants qu'un épisode du "Seigneur des anneaux" (calme toi sale geek, ce n'est qu'un avis subjectif) ou de Derrick (calme toi... euh... je ne sais pas trop qui défend ça m'enfin bon, calme toi et puis c'est tout). Et bien ils décident de se couper les cheveux, de se faire une crête ou de se les mettre en l'air. Normal. Enfin bref.
En fait tout commence dans le magasin de fringues qui va initier la mode punk : SEX tenu par le futur producteur des Sex Pistols Malcom McLaren et sa femme, une styliste dont j'ai oublié le nom.

Attention, reconstitution :
Malcom McLaren : Salut, tu veux quoi ?
Steve Jones (pas encore guitariste des Pistols mais d'un autre groupe) : un bassiste.
Malcom McLaren : voilà, il s'appelle Glenn Matlock.
Steve Jones : Youpi c'est ce qu'il me fallait. Et tu veux pas nous manager ?
Malcom McLaren : Oui, si tu arrête de chanter, et que tu prend le mec avec avec le t-shirt "je déteste Pink Floyd" là-bas pour te remplacer.
Steve Jones : Quelle merveilleuse idée.
Malcom McLaren : n'est-ce pas ?
Steve Jones : et puis tant qu'à faire, on s'appelle "The Rainbow's Unicorns".
Malcom McLaren : Alors là, clairement, non.

Et c'est donc ainsi que s'est formé Sex Pistols. Incroyable, non ?
Donc ces dernier sortent le fameux single "Anarchy in the UK" et puis "God save the Queen".

Les Pistols sont alors invités à la place de Queen dans une émission de début de soirée à la télévision anglaise. Oui, les Sex Pistols à la place de Queen. Normal. Rien de Choquant. C'est le même public. Le même genre de musique......... Parfois je me dit qu'il y a des programmateurs incroyablement cons. M'enfin bon, ça donne un bon moment de télévision incroyablement alcoolisé (aussi bien les membres du groupe que le présentateur assez porté sur le whisky) et provoquant un énorme scandale dans tout le Royaume-Uni (L'interview ici).
 A ce moment se forment alors aussi pleins d'autres groupes voulant participer à la révolution punk qui en fait n'est qu'une mascarade organisée par Malcom McLaren. Bin ouais, il faut bien finir par l'avouer, à l'origine tout ça était calibré pour que le manager des Sex Pistols soit pété de thunes le plus vite possible. Et pour aller vite, c'est aller très vite. Parce que les Sex Pistols ça n'a duré qu'à peine 3 ans et un album, "Never Mind The Bollocks, Here's The Sex Pistols" (littéralement "On s'en bas les couilles, ici les Sex Pistols").

Pour se plonger dans l'ambiance punk 77, voilà les albums importants à écouter :
"Never Mind The Bollocks" de Sex Pistols : https://www.youtube.com/watch?v=bucVwI0RfEg
"Damned Damned Damned" de The Damned : https://www.youtube.com/watch?v=iG7Igziw64Q
"The Clash" de The Clash : https://www.youtube.com/watch?v=ussg70G61wU
"Another Music in a Different Kitchen" de Buzzcocks : https://www.youtube.com/watch?v=bMktxofaLjw

NDA : Volontairement je ne parle pas encore de The Stranglers malgrès que ce soit eux qui vendaient le plus en 1977 parce que c'est un groupe à part donc je ferais sûrement un article dessus en dehors de la série "J'emmerde le punk".

Bon, maintenant on va un peu arrêter les cours d'histoire et parler d'autres aspects du punk dans les prochains épisodes ou de groupes en particuliers (cet épisode faisant un peu office d'article sur Sex Pistols, groupe sur lequel je n'ai pas forcément plus de choses à dire pour l'instant n'étant pas celui sur lequel je me suis le plus renseigner... Mais ça ne saurait tarder).
Si vous avez d'autres albums ou morceaux de punk 77 anglais à proposer, mettez-les en commentaire. Voilà.

vendredi 11 juillet 2014

J'emmerde le punk épisode 1 : Introduction subjective et pas spécialement métaphysique au punk-rock. Dis-donc.

Aujourd'hui les enfants, je vais commencer à parler d'un sujet qui me tient à cœur : moi, les autres, ta mère, ta sœur et surtout le Punk.
"Le punk, c'est de la merde" diront tous les cons qui prennent la musique bien de trop au sérieux alors qu'en fait ce n'est qu'une suite de notes.
Mon but n'est pas de faire une encyclopédie à travers cette série d'article "J'emmerde le punk" mais de parler de cette culture que j'aime énormément, de son évolution à travers les époques et de la vision que j'en ai, moi qui ne me considère pas forcément comme punk mais héritier et en partie acteur de cette culture qui me nourrie pas sa musique et son état d’esprit. Voilà.
Ce premier épisode sert surtout à poser les bases, si tu connais déjà un peu le punk tu peux quand même lire parce que c'est marrant. Enfin je crois.

Comment c'est né ? (en gros, hein, parce que je ferais un article dessus...) :
En 1976, des fils d'ouvriers pas assez noirs pour jouer du reggae décident de faire eux aussi leur musique contestataire. D'où le fait qu'il n'y ai pratiquement que des blancs gringalets dans le milieu punk. Et pourtant c'est pas spécialement un milieu raciste puisque les punks ont presque tous avoués adorer le reggae (preuve en musique : https://www.youtube.com/watch?v=X4rC3gP2hXk).

Comment on joue du punk :
Le mieux, c'est de jouer tout à fond mais il y a des groupes punks qui jouent ni rapidement ni fort. Du coup le mieux c'est de faire ce qu'on veut du moment qu'il n'y a pas de longs moments super chiants et pleins de solos comme dans Led Zepplin (j'ai rien contre eux, c'est juste qu'ils se la pètent un peu). En gros le punk c'est de faire simple, et d'ailleurs c'est aussi pour ça que c'est un peu compliqué de faire une vrai bonne chanson punk finalement. 'Fin bon...

Et maintenant, le moment où je raconte des trucs vraiment presque intéressantes :
Bon déjà, je tiens à dire que j'écoute surtout du punk français (ou du moins de pays francophones) et anglais parce que le punk américain... comment dire... Green Day ? Blink 182 ? bin c'est un peu nul quoi. un peu genre "oulala, madame la comtesse, votre fille de 12 ans écoute du punk ! Quelle rébellion..." Tss tss tss... Mais avouons qu'il y a quelques groupes américains vraiment bons.
Bref revenons à nos moutons à crête. Didier Wampas (est le roi) disait : "le punk c'est : on fait comme on veut". Effectivement, c'est simple et concis, presque circoncit, mais l'idée qu'on peut s'en faire est bien là. Une libération. On fait de la musique pour se marrer et parce que ça défoule.
Mais le punk est aussi très souvent politique, même si le soi disant "premier groupe punk de tous les temps j'ai appelé The Ramones", étaient plutôt à droite, l'énorme majorité des punks est très a gauche, avec des variations et des trucs qui reviennent souvent. L'anarchie déjà (exemple en musique : https://www.youtube.com/watch?v=pOe9PJrbo0s), une défense de la jeunesse (exemple en musique, mais je ferais un article spécialement là-dessus : https://www.youtube.com/watch?v=KgKnfqzvJ1k), un antifascisme (pareil, je ferais un article là-dessus, mais un exemple en musique, c'est toujours bien quand même : https://www.youtube.com/watch?v=FpH0gre8AQw), et pleins d'autres trucs qui ne me reviennent pas maintenant à l’esprit... Mais y'a aussi beaucoup de groupe punk plus axés sur l'humour (Et là aussi je ferais un article là-dessus, soi juste un peu patient mon p'tit...).

Bon, il est maintenant temps d'aller creuser dans des sujets plus précis avec tout d'abord l'épisode 2 : "La naissance du punk en Angleterre", encore une fois je précise que je ne veut pas faire ici une encyclopédie exact sur le punk mais de raconter ma vision de celui-ci, donc je raconte tout ça à ma manière en oubliant beaucoup de choses car tout ça est, comme le dirait mon grand-oncle, très foisonnant. si tu veux lire des trucs précis, y'a plein de super bouquin hyper bien foutu sur toutes les périodes donc tu lis. Flûte.

 Arthur Carnivore.

lundi 7 juillet 2014

Salut à toi être humain pas si lambda que ça !

Espèce d'énorme crevure, n'essaye pas de me faire croire qu'on est tous égaux ou qu'on puisse changer le monde avec une quelconque constitution. Ne parle pas la bouche pleine, c'est mal poli. Sache juste que plus rien ne pourra nous arrêter, les humains sont parmi nous et j't'assure que, bordel, on a pas finit de les entendre hurler au coin des ruelles quasiment vide à une heure du matin à cause d'un débordement d'alcoolémie redoutable. Ça remonte, ça remonte, et puis on sait ce qui se passe. Ou alors on ne sait pas. C'est comme tu veux mon p'tit, j'y suis pour que dalle là dedans.  Alors merde, c'est quoi ton problème, t'as peur d'être que dalle dans du vide ? t'as peur de te ronger les ongles jusqu'aux genoux du bras (vinaigrette) ? t'as peur de te faire pendre par le nez (alors que franchement, c'est impossible, à part, à la limite pour Pinocchio quand il ment) ?
Phoque.
Et c'est donc poour cela que j'écris dans ce put***ain de blog. Nom de.